Vente de livres, d’œuvres d’art et d’artisanat arménien (MCA)
Au programme de cette exposition :
- des livres d’art
- des nouveautés 2017
- de l’artisanat arménien (association chene)
- créations originales, tableaux.
En présence des créateurs :
- Sirov (le samedi 1er avril)
- Astrid Balian
Une exposition en association avec la Croix Bleue des arméniens de France et la section Helen PUZANT d’Alfortville.
Pour tout renseignement, prendre contact avec la MCA : 01 43 76 55 89
Une fabrication Made In France à découvrir...
Interview de la directrice de la MCA
Nous avons rencontré pour l’occasion Arax Der Kevorkian, directrice de la MCA, qui a accepté de répondre à nos questions.
L.S : Bonjour Arax !
A.D.K : Bonjour !
- Merci de m’accueillir au sein de la boutique éphémère. vous allez exposer du 28 mars au 02 avril 2017. En quoi consiste cette exposition ?
- La maison de la culture arménienne travaille principalement sur les livres. On va aussi exposer la partie artiste, plus essentiellement autour de la thématique de l’art, de la culture, de la cuisine et des nouveautés qui sont sorties lors du Salon du Livre prévus ce mois ci et au mois de décembre. Cela nous permet d’exposer une partie des livres que l’on a en notre possession et d’autre part de valoriser le travail collaboratif effectué avec les artistes alfortvillais.
- Pouvez-nous nous citer quelques artistes, justement ?
- Il y a Roland Inayetian, peintre qui fait un travail sur la calligraphie, tant sur des grands que des petits tableaux, mais aussi SIROV, un artiste qui prépare des tableaux, des bracelets, des mugs, à l’aide de la calligraphie arménienne, HOV, fabriquant alfortvillais de bougies d’intérieur et enfin Ghasarian Méliné.
- En quoi consiste l’Artisanat arménien de l’association chêne ?
- Cet artisanat vient d’Arménie. L’on retrouve notamment des articles de maroquinerie, des petits tableaux et le symbole de l’Arménie « la grenade » (elle-même déclinée sous différentes formes).
- Quel message voulez-vous laisser grâce à cette exposition ?
- C’est la 1ère année que l’on organise ce type d’événements. J’espère qu’il y aura du monde ! (rires). L’important pour nous c’est de dire qu’on est présents sur cette ville. On s’associe énormément aux projets culturels. Aujourd’hui, notre mission est d’aller au delà du livre, et davantage approfondir l’angle artistique, notamment avec les tableaux. Une artiste va d’ailleurs intervenir sur place. Elle écrit sur des mugs en arménien.
- Le mot de la fin ?
- En fait, l’on souhaite transcender un peu la littérature arménienne, aller plus loin et montrer une vision d’artisanat arménien. L’éclectisme qui existe au sein de cette ethnie est extraordinaire.